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Saturday, January 3, 2015
Pour (tenter d') en finir avec 2014
Dans le désordre :
Map to the Stars de David Cronenberg
Adieu au langage de Jean-Luc Godard
P'tit Quinquin de Bruno Dumont
Gaby Baby Doll de Sophie Letourneur
Under the Skin de Jonathan Glazer
The Grand Budapest Hotel de Wes Anderson
National Gallery de Frederic Wiseman
L'étrange couleurs des larmes de ton corps de Helène Cattet et Bruno Forzani
La prochaine fois je viserai le coeur de Cédric Anger
La Coupe du monde de Football 2014
Thursday, April 3, 2014
Free Cinema Free
The White Bus de Lindsay Anderson
Semble être à l'origine une trilogie,
Du Free Cinema,
Mais des problème budgétaires ont amputés
La part de Karel Reisz et Tony Richardson.
Ne reste que ce moyen métrage avec
L'étonnante Patricia Healey,
Remarquée dans un autre film de L.A
Britannia Hospital.
D'accord c'est sur Youtube.
Mais sinon où?
Donc ça se voit
Et se lit
Sur le toujours excellent site
Modculture.
En lien ci-contre.
Stayin' Alive !
Friday, January 17, 2014
So British !
Bon pour ne pas laisser la (juste) colère avoir le dernier mot.
Donc Smashing Time ou la satire du Swinging London en temps réel. 1967. De Desmond Davies.
Smashing Time ou 2 banlieusardes à l'assaut de Londres (et non de Brighton comme supposé précédemment). Carnaby Street et Camden.
Petit périmètre où Tout s'est déroulé.
Arrivées à Saint-Pancras (l'ancienne).
Quiproquos en quiproquos, de batailles de peinture (Pop) aux tartes à la crème (Burlesque), de night club en bain de mousse gigantesque et improvisé, de boutique Too Much !!! en défilé de sosies (Twiggy, Small Faces, etc...), de cocktails à la Violette en drinks au Campari, d'explosion vengeresse de Party et de destruction de Londres, Smashing Time, tout en rendant avec ironie et affection la superficialité et l'importance de cette courte période, joyeuse et libre, rappelle délicatement la difficulté du Prolétariat à trouver sa place.
Si le film n'a pas la folie dévastatrice de The Party, il est cependant attachant par son absence de cynisme et son ambiance résolument Pop.
Stayin' Alive !
Sunday, December 15, 2013
Du Cinéma
Voilà la fin d'année et le rituel des classements.
Soyons brefs et précis.
Soit :
1) La Jalousie de Philippe Garrel
ensuite de façon aléatoire :
-La vie d'Adèle d'Abdellatif Kechiche
-Gravity d'Alfonso Cuaron
-L'inconnu du lac de Alain Guiraudie
-A touch of sin de Jia Zhang-Ke
-Histoire de ma mort de Albert Serra
-Suzanne de Katell Quillévéré
-Tip Top de Serge Bozon
-The Immigrant de James Gray
-Django Unchained de Quentin Tarantino
Bonjour chez vous !
Friday, December 21, 2012
Top 9 + 1
Dans le désordre, 10 films qui passeront la fin du monde :
-Cosmopolis de David Cronenberg
-Holy Motors de Léos Carax
-Après mai de Olivier Assayas
-Tabou de Miguel Gomez
-Into the Abyss de Wernez Herzog
-Twixt de Francis Ford Coppola
-Les chants de Mandrin de RAZ
-In Another Country de Hong Sang-Soo
-Go Go Tales de Abel Ferrara
-Derby Manchester City vs Man U (2-3, à la dernière minute du match !!!)
(Pas encore vu 4h44 Dernier jour sur Terre)
Staying Alive !
Hotel Chevalier
A l'heure des bilans et Top 10,
Un petit retour sur l'année 2007
Et sans doute un des plus beaux films.
Stayin' Alive !
Sunday, March 25, 2012
BBB
Thursday, February 23, 2012
Passage secret

Dans l'avion qui me menait à Berlin,
J'ai lu l'article:
Le réalisateur Laurent Perrin est mort
le 09.02.12.
Complications opératoires.
55 ans
4 longs métrages (il faut rajouter Sushi Sushi à la liste)
Une poignée de documentaires
Dont un sur la regrettée Dominique Laffin.
J'aimais bien son cinéma,
Rare, exigeant, juste.
D'abord connu au travers de ses films.
Il y à longtemps à l'époque de son premier. En 1985.
Passage secret reste un titre programmatique
Pour mon rapport au cinéma. Et donc à celui
De LP.
Et puis en 2004. Pendant 4 jours.
A l'occasion d'un jury
D'un festival dont il à été un membre éclairé et
Joyeux. Aux jugements tranchants
Mais motivés d'une haute exigence artistique.
Et puis ensuite, par hasard, lors de
La rétrospective Jean Eustache au Centre Pompidou.
Assis coté à cote.
Par hasard.
Et puis j'arrivais à Berlin.
Il faisait très froid.
Et gris.
Sans doute
Par hasard.
Stayin' Alive !
Saturday, February 4, 2012
Dernier match

Chronique sur une série Tv "Match contre la vie"
Dont il était le personnage principal,
L'acteur Ben Gazzara vient de perdre le dernier
Et rejoint la fameuse bande de Husbands de John Cassavetes.
Il avait 81 ans.
Gena Rowlands doit se sentir
Terriblement seule maintenant...
Stayin' alive !
Thursday, December 29, 2011
Un de plus : 11
Wednesday, December 28, 2011
Moins 2.
Tuesday, December 27, 2011
Moins 1.
Monday, December 5, 2011
Top Ten

-Melancholia de Lars von Trier
-Un été brulant de Philippe Garrel
-Pater d'Alain Cavalier
-La guerre est déclarée de Valèrie Donzelli
-Essential Killing de Jerzy Skolimovski
-Black Swan de Daren Aronofsky
-Dharma Guns de FJ Ossang
-La grotte des rêves perdus de Werner Herzog
-La BM du seigneur de Jean-Charles Hue
-Dernière séance de Laurent Achard
Pas encore vu le dernier film de David Cronenberg ni celui de Martin Scorcese, ils devraient cependant rentrer dans cette liste.
Stayin' Alive !
Sunday, December 4, 2011
Paté (lyonnais)

Pas un plan. Pas un plan n'y échappe. Ça dégouline. Marchal tire sa légitimité d'un passé d'inspecteur de police, qui toucha le fond et se rachète en écrivant pour les laissés pour compte de la Police. Il n'est pas le seul. Pas le dernier. Hugues Pagan avant lui. Avec qui il collabora pour le meilleur. C'est loin, très loin.
Dans Les lyonnais, tout n'est que degré zéro: dialogues, mise en scène. Ici tout pue le soi-disant honneur des voyous (j'te massacre toi et ta famille, mais avec Honneur...), mais c'est pareil chez les flics. Pour OM, seul compte "les hommes". Les vrais les burnés. Jamais d’ambiguïté. "Et oh ! faut pas non plus déconner. On est pas des pédés !!!". Et l'injustice dont il est question dans ce film couillu, n'est pas celle d'un système qui écrase et marginalise, (au contraire, sans ce système pas de voyous...) mais celle d'une disproportion (6 mois de taule pour le vol d'un cageot de cerises).
"36 Quai des Orfèvres" était raté : casting pléthorique à contre emploi, scène de guerre improbable en banlieue parisienne. N'est pas Michael Mann qui veut.
"MR 73" était facho. Et se servait du regard du spectateur pour justifier la saloperie des personnages.
No comment.
Avec Les Lyonnais, il cherche (et surfe) sur la vague de films de fictions de reconstitution contemporaine (les années 60/70). Mais si ça marche chez Assayas et son Carlos et chez Richet avec Mesrine, ici c'est un pléonastique naufrage réactionnaire. Pourquoi ?
Parce que Assayas et Richet n'ont jamais envisagé que "c'était mieux avant" ! Avant que la Loi des Hommes (les vrais, les burnés, etc...) ne soit perturbée par la Politique (au sens de l'organisation du Monde), et que le Cinéma sert à rendre compte du Monde. Qu'il est là.
Alors cher OM, dites-vous que votre recette est éculée, puante et stérile. Si vous voulez parler de cinéma (après tout, seule chose qui me préoccupe, car vos histoires de flics et de truands, pour jouer dans votre jardin, m'en touche une sans bouger l'autre...), aprennez d'abord vos classiques. Observez et écoutez, Coppola, Cimino, Kitano, To, Melville, Lang et Mann. Débarrassez vous de vos stéréotypes sur la nature humaine. Et si la violence vous intéresse : regarder TOUT Sam Fuller !
Ensuite peut être...
Bonjour chez vous !
Au sujet de Braquo, du même OM, dont la seconde saison débute sur Canal.: Même chronique que ci-dessus.
J'ai mon Honneur !!!
Dans Les lyonnais, tout n'est que degré zéro: dialogues, mise en scène. Ici tout pue le soi-disant honneur des voyous (j'te massacre toi et ta famille, mais avec Honneur...), mais c'est pareil chez les flics. Pour OM, seul compte "les hommes". Les vrais les burnés. Jamais d’ambiguïté. "Et oh ! faut pas non plus déconner. On est pas des pédés !!!". Et l'injustice dont il est question dans ce film couillu, n'est pas celle d'un système qui écrase et marginalise, (au contraire, sans ce système pas de voyous...) mais celle d'une disproportion (6 mois de taule pour le vol d'un cageot de cerises).
"36 Quai des Orfèvres" était raté : casting pléthorique à contre emploi, scène de guerre improbable en banlieue parisienne. N'est pas Michael Mann qui veut.
"MR 73" était facho. Et se servait du regard du spectateur pour justifier la saloperie des personnages.
No comment.
Avec Les Lyonnais, il cherche (et surfe) sur la vague de films de fictions de reconstitution contemporaine (les années 60/70). Mais si ça marche chez Assayas et son Carlos et chez Richet avec Mesrine, ici c'est un pléonastique naufrage réactionnaire. Pourquoi ?
Parce que Assayas et Richet n'ont jamais envisagé que "c'était mieux avant" ! Avant que la Loi des Hommes (les vrais, les burnés, etc...) ne soit perturbée par la Politique (au sens de l'organisation du Monde), et que le Cinéma sert à rendre compte du Monde. Qu'il est là.
Alors cher OM, dites-vous que votre recette est éculée, puante et stérile. Si vous voulez parler de cinéma (après tout, seule chose qui me préoccupe, car vos histoires de flics et de truands, pour jouer dans votre jardin, m'en touche une sans bouger l'autre...), aprennez d'abord vos classiques. Observez et écoutez, Coppola, Cimino, Kitano, To, Melville, Lang et Mann. Débarrassez vous de vos stéréotypes sur la nature humaine. Et si la violence vous intéresse : regarder TOUT Sam Fuller !
Ensuite peut être...
Bonjour chez vous !
Au sujet de Braquo, du même OM, dont la seconde saison débute sur Canal.: Même chronique que ci-dessus.
J'ai mon Honneur !!!
Saturday, October 22, 2011
Un été brulant


Comment ne pas penser à cette connexion?
Monica Bellucci / Anita Ekberg
Si les correspondances / citations
Avec le Mépris de Godard, sont
Évidentes, l'une d’entre elles ouvre
Sur Fellini / Cinecitta, et donc
La Dolce Vita.
Art
Amour
Révolution
Guerre
L'oeuvre de Garrel (père)
N'a cesse de creuser cet axe.
Depuis presque 50 ans.
Et comme ce film réuni une dernière fois
Grand-père et petit fils,
Une séquence de fin bouleversante,
Où le grand-père (Maurice, disparu récemment)
Dialogue avec son petit-fils (Louis)
Sur le point de mourir.
Dans le Top 5 des films 2011
Stayin' Alive !
Monday, September 5, 2011
Mélancholia, mon amie.


Vu l'un après l'autre.
Soit Max après Mélancholia.
A quelques heures.
Et l'un ne nous guérit pas de l'autre.
Qui, du reste, voudrait guérir d'un des plus beaux films jamais vu ? Mélancholia.
Après une des séquences d'ouverture les plus virtuoses, et qui en quelques "tableaux", tient tout le film, on pu craindre le pire : une sorte de Festen avec des moyens. Et puis non, très vite, quelque chose se joue. D'immense et d'intime. Et ça enfle pour devenir plus grand que la Terre et tout ce qu'il y a dessus. Comme si du banal et commun (un mariage), de l'avenir et du bonheur, quelque chose venait s'interposer, nous dire que de toute façon ce n'est qu'Image et Artifice. Un jeu social. De dupes. Que seule La Mélancolie, nous rend lucide.
En inversant les rôles, en moins trivial, (quoique), on revoit Vertigo. Sa part démonstrative. On déroule le Double.
Une forme de Dialectique de la Lucidité.
Et Tristan et Ysolde de Wagner nous renvoi à Bernard Herman et Alfred H, ou bien le contraire. Alors on a presque envie de crier. Dans la salle et de dire Stop ! tant toute cette émotion est insupportable.
Et personne ne pourra nous guérir.
Surtout pas le regard de Romy S.
Ultime.
Quelques heures après.
Après la fin du Monde.
Stayin' Alive (et lucide !)
Post écrit en écoutant Lulu dont la chanson Let's Pretend (1967) commence par ces mots "I Only Live Because You Love Me"
A quelques heures.
Et l'un ne nous guérit pas de l'autre.
Qui, du reste, voudrait guérir d'un des plus beaux films jamais vu ? Mélancholia.
Après une des séquences d'ouverture les plus virtuoses, et qui en quelques "tableaux", tient tout le film, on pu craindre le pire : une sorte de Festen avec des moyens. Et puis non, très vite, quelque chose se joue. D'immense et d'intime. Et ça enfle pour devenir plus grand que la Terre et tout ce qu'il y a dessus. Comme si du banal et commun (un mariage), de l'avenir et du bonheur, quelque chose venait s'interposer, nous dire que de toute façon ce n'est qu'Image et Artifice. Un jeu social. De dupes. Que seule La Mélancolie, nous rend lucide.
En inversant les rôles, en moins trivial, (quoique), on revoit Vertigo. Sa part démonstrative. On déroule le Double.
Une forme de Dialectique de la Lucidité.
Et Tristan et Ysolde de Wagner nous renvoi à Bernard Herman et Alfred H, ou bien le contraire. Alors on a presque envie de crier. Dans la salle et de dire Stop ! tant toute cette émotion est insupportable.
Et personne ne pourra nous guérir.
Surtout pas le regard de Romy S.
Ultime.
Quelques heures après.
Après la fin du Monde.
Stayin' Alive (et lucide !)
Post écrit en écoutant Lulu dont la chanson Let's Pretend (1967) commence par ces mots "I Only Live Because You Love Me"
Friday, August 19, 2011
Pirate
A un peu plus de
70 ans un des derniers
Pirates du Cinéma mondial
Vient de quitter
Définitivement
L’Ile au trésor !
Dans son film,
L'éveillé du pont de l'Alma
Il racontait l'histoire d'un
Homme qui ne voulait plus dormir
Pour que rien du Monde
Ne lui échappe.
Exilé
Engagé
Créateur de formes
Populaires et exigeantes
Baroques et Littéraires
Raul Ruiz continuera
De hanter encore longtemps,
Éveillé parmi
Les fantômes,
Le Cinéma.
Stayin' Alive !
Sunday, July 31, 2011
Ben, Gena & Jerry

Ben Gazzara
John Cassavetes
John Kullers
Soit : La bande d'Husbands. Le film.
Ben Gazzara reste le dernier et à 81 ans doit se sentir bien seul pour faire la tournée des bars lorsque meurt un des ses potes ! Il y avait aussi l'autre bande, soit : Franck Sinatra, Sammy Davies Jr, Dean Martin, Jerry Lewis..."La Bande des quatre".
Cassavetes, Falk, Gazzara, eux étaient plutôt les Trois Mousquetaires, dont le quatrième est, et reste l'éblouissante Gena Rowlands.
Un de mes premiers souvenirs de Ben G, reste une série des années 60 diffusée en 1969 à la TV, Match contre la vie (65 - 68). Un homme malade, incurable, qui décide de vivre à fond ! C'était génial. Après avoir épuisé sa dyslexie a prononcer le nom du comédien, on avait une série à l'opposé des canons de l'époque. Ni flic. Ni arme.
Je ne me rappelle d'aucun épisode.
Juste l'allure.
La classe.
Et puis il y a eu la suite. Plus tard. Husbands. Killing of a Chinese Bookie, Opening Night. Des épisodes de Columbo. Réalisés. Et puis Bukowski. Et une poignée d'incontournables. Et aussi un numéro de Cinéma, Cinéma, où il est question de son embarras de jouer une scène où il doit embrasser une comédienne. Tout ça de bonne heure. Drôle et passionnant.
De Gena, le premier souvenir est plus récent. C'est Une femme sous influence, de John C. A la TV toujours. Donc aux alentours de 76/77. "Les dossiers de l'écran". Une "théma" sans doute sur l'Alcool. Ou la Folie? Ou les Pâtes? Ou je ne sais quoi !
Tout mélangé.
Pas sur l'essentiel.
De toute façon.
Mais on en parlera plus tard.
Et de Jerry L.
Aussi.
Stayin' Alive !
Ben Gazzara reste le dernier et à 81 ans doit se sentir bien seul pour faire la tournée des bars lorsque meurt un des ses potes ! Il y avait aussi l'autre bande, soit : Franck Sinatra, Sammy Davies Jr, Dean Martin, Jerry Lewis..."La Bande des quatre".
Cassavetes, Falk, Gazzara, eux étaient plutôt les Trois Mousquetaires, dont le quatrième est, et reste l'éblouissante Gena Rowlands.
Un de mes premiers souvenirs de Ben G, reste une série des années 60 diffusée en 1969 à la TV, Match contre la vie (65 - 68). Un homme malade, incurable, qui décide de vivre à fond ! C'était génial. Après avoir épuisé sa dyslexie a prononcer le nom du comédien, on avait une série à l'opposé des canons de l'époque. Ni flic. Ni arme.
Je ne me rappelle d'aucun épisode.
Juste l'allure.
La classe.
Et puis il y a eu la suite. Plus tard. Husbands. Killing of a Chinese Bookie, Opening Night. Des épisodes de Columbo. Réalisés. Et puis Bukowski. Et une poignée d'incontournables. Et aussi un numéro de Cinéma, Cinéma, où il est question de son embarras de jouer une scène où il doit embrasser une comédienne. Tout ça de bonne heure. Drôle et passionnant.
De Gena, le premier souvenir est plus récent. C'est Une femme sous influence, de John C. A la TV toujours. Donc aux alentours de 76/77. "Les dossiers de l'écran". Une "théma" sans doute sur l'Alcool. Ou la Folie? Ou les Pâtes? Ou je ne sais quoi !
Tout mélangé.
Pas sur l'essentiel.
De toute façon.
Mais on en parlera plus tard.
Et de Jerry L.
Aussi.
Stayin' Alive !
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