Wednesday, December 30, 2009

Juke-Box 2009


Voici que s'annonce le Top 5
Des disques de l'année
Ecoulée.
Valeurs sûres
Découvertes...
De quoi animer les platines
4 vinyls + 1 Cd
En ces temps galopants
De Party
De fin d'année...

Dans le désordre de leur parution...

-Roxy Epoxy and the Rebound "Band-Aids on Bullet Holes"
-Sonic Youth "The Eternal"
-Bikini Machine "The Full Album"
-Peter Doherty "Grace / Wastelands"
-Franz Ferdinand "Tonight: Franz Ferdinand"

Et bien sur des Bonus:
-Bad Lieutenant "Never Cry Another Tear"
-Rinôcérôse "Futurinô"
-Duke of Stratosfear "25 O'Clock" (Réédition)

Monday, December 28, 2009

Red Shoes...


A Montparnasse (Miossec)

Il en était question ces derniers temps.
Sur ce blog ou ailleurs.
Un des meilleurs moments de l'album.
Et le doux plaisir
De croiser de nouveau
La trop rare
Fabienne Babe
...

Stayin' Alive

Friday, December 25, 2009

2009 et après ?



Socialism de Jean-Luc Godard
En attendant 2010...

Voilà !
C'est le moment...
N'ayant pas tout vu et certainement raté quelques films essentiels...
Ici cependant sont publiés les 5 films incontournables de cette année 2009.
Dans le désordre alphabétique et de parution:

-35 Rhums de Claire Denis
-Vincere de Marco Bellochio
-The Limits of Control de Jim Jarmush
-Ce cher mois d'août de Miguel Gomes
-Tokyo Sonata de Kiyoshi Kurosawa

Bonus:
-Unglorious Basterds de Quentin Tarantino
-Public Enemies de Michael Mann
-Violent Days de Lucile Chauffour

Bonus (scénario):
-France / Irlande 18/11/2009

8 titres, pour différentes raisons, qui accompagnent...

Bonjour Chez vous !

Sunday, December 20, 2009

Nouvelles de Roxy


N'ayant pas le coeur à l'ouvrage...
(Understands who can....)

Voici cependant la réponse, sybilline de "l'amie" ROXY EPOXY,
A l'invitation faite
A son endroit,
De tourner un film
Sur l'un des groupes
Les plus excitants
De l'année
2009:

"Been trying to figure it out. I want to be back in the EU more than anything"

Message reçu.
We'll Be Ready !
See You !

Wednesday, December 16, 2009

Résonnances # 3


(...)
Non
Non
Non
Je ne suis pas
Saoul !
Un peu à bout
C'est tout !
(...)

(...)
THEY
HAVE
YESTERDAY
TOMORROW
(...)

Friday, December 11, 2009

Sans limite...


The Limits of Control (Jim Jarmush 2009)

Et de deux !
GENTLEMAN JIM !

Ce film que tous semblent détester,
Est une merveille.
Jamais le refus de l'action n'a été poussé aussi loin... ( ah l'élipse, magistrale !)
Road-movie abstrait.
Répétitif.
Jarmush meet Steve Reich !
1h56 heures de
Poésie hypnotique.
En opposition
A TOUT
LE CINEMA
MAINSTREAM

DU GRAND JIM !

Dans le Top 5 ?
Surement !
Monsieur !

Saturday, December 5, 2009

Resonnances....

Call me when you can...

Elle me dit qu'elle a été trop bonne d'attendre
Qu'elle aurait pu avoir des amants à la pelle
Mais qu'au lieu de ça elle n'a fait que se méprendre
Jusqu'à ne plus se retrouver telle quelle
M'avait connu mais ça remontait aux calendes
Et que depuis elle en avait soupé du fiel
Que les bons moments qu'on aurait pu prendre
On les a vu passer depuis longtemps dans le ciel !
Elle me dit que si ma tête essayait un jour de comprendre
Ce qui peut bien se passer en elle
Elle gonflerait surement jusqu'à se fendre
Car je ne suis pas des plus spirituels
Et que mes amis sont bons à aller se faire pendre
Qu'on est tous bons qu'à foutre le bordel
Et qu'à mon age je devrais quand même apprendre
Que je n'ai pas grand chose pour moi et rien pour elle.

Elle trouve ça drôle, alors elle rit
Je ris aussi, mais moi c'est les nerfs...

(Miossec : A Table / Prendre / 1998)
Reproduit sans autorisation

Monday, November 30, 2009

Bronco Bullfrog # 2



En attendant
De voir
Le film...

Saturday, November 28, 2009

Et Dieu dans tout ça ?

Vincere de Marco Bellocchio (2009)

Allez !
Sans doute un des 5 meilleurs de films de l'année.
(palmarès à suivre...)

Donc ce Vaincre de Marco Bellochio, n'est pas le Vincere de Mussolini, laché en toute fin du film, mais bien celui de sa première femme, reniée, humiliée, volée, comme elle lui lachera à plusieurs reprises, pour faire valoir son identité et la reconnaissance de son mariage et de son fils volé.
Reniée dés le passage de Mussolini du Parti Socialiste au Fascisme !
Ida Dalser, amoureuse subjuguée...dès le premier plan, qui aidera le futur dictateur dans sa rupture politique, faisant "corps" avec lui, incarnera, pendant plus de 20 ans, une forme de résistance ultime à la forme la plus complète du fascisme:
La Négation de l'individu et l'asservissement à l'Ordre.
Là ou Bellocchio est impressionnant, c'est qu'il ne traite jamais cette histoire, qui pourrait n'être qu'un banal fait historique, comme un simple mélodrame. De cette histoire individuelle, il brosse 30 ans de l'histoire de l'Italie, et nous livre un film que l'on attendait plus du coté de la Péninsule.
Plutôt du coté du cinéma américain...(1)
A la fois Opéra, Mélodrame, Epique, Vincere, par un montage qui trés vite nous emmène subtilement hors du cinéma classique (ce à quoi nous pouvons penser en voyant le premier plan inaugural...) et par une audace ( Cf: Les Cahiers du Cinéma N° 650, pourquoi être plus malin que des articles déjà écrits...) qui est de faire disparaître le corps de Mussolini (acteur) par le Duce en archives...
C'est peut être là que se glisse le Vincere et la beauté du film.
Au corps omniprésent du Duce, le culte de la personnalité et l'asservissement à celui-ci, l'irremédiable Resistance, est de réussir ou non à imposer un autre corps. Sa présence (celle d' Ida Dasler) mais aussi celle du fils caché.
Que l'internement ne réussira pas à briser...
Un des derniers plans du film, la montrera, dans une voiture (alors que la foule de son village tente de la retenir d'un nouvel internement), nous sommes avec elle, et dans le mouvement de cette voiture, son visage devient silhouette, puis ombre et disparait...La force de Bellocchio, est de saisir cette disparition dans un mouvement, qui la fait avancer. Triompher d'une certaine façon...(elle mourra cependant avant Mussolini)
Dans le raccord suivant, lorsque le Duce lachera son Vincere, Bellocchio accélèrera le mouvement ultime du film, avec la chute du Dictateur !
Ce n'est peut-être pas un hasard, si c'est Bellocchio qui résussit là où d'autres cinéastes italiens échouent. Il a toujours filmé l'Italie contemporaine, dans les rapports de l' Individu à la Machine.
(Religion/Armée/Etat/Famille/Politique...) sans jamais laisser "le message ou le slogan" prendre le dessus.

Film résolument moderne, qui réussit plusieurs fois ce que Godard ne réussit pas toujours (attendons le prochain) et qui en ces temps d'omniprésence médiatique présidentielle italienne (mais pas seulement), nous rappelle que le cinéma reste un territoire de promesses.
Qu'il faudra bien tenir un jour !
Venceremos !

(1) A propos de cinéma américain.
Il faudra que l'on m'explique le succès rencontré par un navet.
Ces temps ci.
Je parle du premier film Post Obama.
Away we go de Sam Mendes. Habile faiseur américain.
Passant en revue tous les modèles de familles pendant une très longue heure et demie.
En gros tout le cinéma américain depuis plus de 30 ans.
Le film se concluant sur une vision régréssive d'un avenir possible:
Un jeune couple (bientôt une famille) dans la maison d'enfance.
Coupé du monde.
Et donc de tout ce qui peut parasiter leur bonheur !!!
Les autres quoi !
Attacher un tel soin a évacuer le corps des autres,
M'enclin, de façon méchante,
A repenser au sujet de Vincere.

Par contre, vu le film à 16h30.
Mauvais choix. Non celui du lieu (un cinéma de légende, cf photo).
Concours de déambulateurs...
De raleries en tous genres...
Et surtout une sorte de "j'étais là avant vous !".
Typique de la bourgeoisie.
Qui avec toute la (fausse) misanthropie du moment (le mien)
Me fit m'interroger, sur le comportement de la Bourgeoisie au temps du fascisme ?
Vous aurez raison de m'objecter, le rôle du Peuple au temps de celui-ci !
La misanthropie n'ayant donc cours dans cette réflexion...

Bonjour chez vous !

Thursday, November 19, 2009

Bronco Bullfrog

Bronco Bullfrog de Barney Platts-Mills (1969)

A priori un film culte sur la culture Mod tourné dans l'East End London.

Barney Platts-Mills
, cinéaste né en 1944 à Colchester, filme la jeunesse anglaise, Private Road (1970), Hero (1977), mais aussi des documentaires (David Hockney), semble suivre une carrière de producteur et écrit pour le théatre.
Sans grand intérêt...
Excepté ce Bronco Bullfrog.
Que la Semaine de la Critique (Cannes) avait repéré.
Pas vu !
Mais le désir...
Voilà donc qu'à Brigthon.
Celui-ci sera projeté...
Et que l'article qui suit, emprunté à ModCulture (cf: Move the Mouse),
Donne envie...

"You might have seen our Bronco Bullfrog still gallery, but have you ever seen the film? If the answer is 'no', you're in luck - there's a rare screening of Bronco Bullfrog at the Duke of York’s Picturehouse in Brighton.
So cult it hurts, Bronco Bullfrog is being shown in a new digitally enhanced version, accompanied by a Q&A with director Barney Platts-Mills. For the uninitiated, it's a 'youth' film from the late 60s with an untrained class, the plot following Del, a 17-year-old apprentice welder whose relationship with 15-year-old Irene meets with family disapproval. After helping Bronco, Del’s mate on the run from borstal to rob a railway truck, the teenage lovers go on the run and end up taking refuge with Bronco with the Police on their trail.

Noted for being the first (and possibly only) movie featuring the suedehead look (courtesy of Bronco), the movie is showing on Wednesday 2nd December 2009 at 6:30pm."

On doit cependant pouvoir trouver un Dvd quelque part...

Bad Joke #2

Where is my bike?

Chantait
Frankje Blakjie et les Pijxies
Lors de leur tournée mondiale
Aux Pays-Bas
...

Contrastes...




Bad Joke #1

Colocs ?

Pause #6






Wednesday, November 18, 2009

Bad Mood...






Je rentre d'Amsterdam...mais je n'ai pas visité le Port.
Y parait qu'y a des marins qui sortent en rotant,
Qu'il y a des accordéons qui expirent
Et que ça sent la morue jusque je ne sais plus où...
C'est bon je connais...
En plus les boutiques de fringues étaient fermées...

Tuesday, November 17, 2009

Pause #5

Please, don't call me when you get there !!! #8

Always the same in the same World...

Amsterdam...

Berlin...

Thursday, November 12, 2009

C'est mon droit !


J'EXIGE UN DROIT DE RESERVE DE CE MONSIEUR (qui plus est même pas français !)

Wednesday, November 11, 2009

27 ans



Sonic Youth "What We Know"

Que d'applaudissements polis par cette assistance que l'on devine encore plus agées que nos 5 compères...
Mais qu'allaient-ils faire là ?
C'est vrai que le concert à paris (au demeurant très bon) avait lieu au Palais des Congrès...et donc assis...
On l'a déjà dit...faute de GOO !



Sonic Youth "Kool Thing"

Monday, November 9, 2009

20 ans


1989 - 2009

Les murs fleurissaient et s'écroulaient.
Les villes ne nous faisaient plus peur.
Il nous fallait trouver notre place.
Notre histoire avançait.

Elle était au présent.
La fumée de Monika nous avait protégé
De l'amnésie...

"Beaucoup d'entre nous ont brulé leurs vaisseaux..."

Sunday, November 8, 2009

Elli sans Jacno


Jacno "Rectangle"
Durée: 2'49

Evidence!
Jacno n'est pas un musicien qui m'a "accompagné" !
Mais il me renvoie à l'époque ou je l'ai entendu pour la première fois. En compagnie d'Elli Meideros, au sein du groupe punk Stinky Toys. Et de l'endroit où je l'ai découvert: Le cultissime disquaire Harry Cover, fondé et tenu par Michel Esteban et dans son ombre Lizzy Mercier Descloux...
Ce lieu même que raconte si bien Patrick Eudeline (il doit inventer une partie du mythe) de feu Asphalt Jungle.
C'était en 1976 (ou 77 ?). Années charnières.
Disquaire ou l'on pouvait écouter les dernières nouveautés new-yorkaises ou anglaises, croiser les groupes et manipuler les pochettes pleines de promesses.
C'est là, où en écoute (uniquement par faute d'argent...) que les Stinky Toys m'ont percé les tympans.
Et puis les années glorieuses se sont éffacées, la New Wave à prit le dessus, le groupe est devenu un duo Elli et Jacno, Pop et Varièté, puis un solo: Jacno avec un mélange plus subtil et novateur pour l'époque qu'il n'y paraissait.
Ce Rectangle datant de 1980 en est l'exemple.
Combien de musiciens ont été nourris de cette ritournelle au synthé ?
Jacno c'est aussi une longue collaboration: Françoise Hardy, Etienne Daho, Daniel Darc, Mathématique Moderne...et comme comédien chez Cédric Klapish ou Jean-Henri Roger...
Entre autre !
Il publia un dernier album au titre amer : Tant de temps (2006)
Pourquoi l'écouter aujourd'hui ?
Parce que la seule collaboration que Denis Quilliard (Jacno) n'a pas réussit à négocier, et qui reste un échec, est celle qui s'est achevée le 6 novembre 2009.
Le dandy Jacno est mort à 52 ans à la façon de Bashung et Fred Chichin !

A (ré)écouter donc !

Friday, November 6, 2009

No News



Spider and the Leach
Durée: 2'56

Toujours pas de nouvelles de Roxy Epoxy à Paris...
Alors en attendant, ça date de juillet,
Mais c'est toujours
Imparable !

Thursday, November 5, 2009

Chronique Sonic # 8 (M & M)


En 2002.
Les deux lascars nous avaient déjà fait le coup. Sortir simultanément leur album. A l'époque, Le Moujik et sa femme et Brûle. A ma droite Jean-Louis Murat et à ma gauche Christophe Miossec.
Auvergne vs Brest.
Si le breton à bougé (Bruxelles, sud de la France, puis re-Brest) se faisant rare, l'auvergnat ermite, produit à foison.

Le cours ordinaire des choses et Finistériens, sont sortis il y à quelques semaines et chroniqués un peu partout. Je suis sur que ELLE à même son avis sur cette production où se mêlent 19ème siècle, solitude et une sorte de deuxième degré urbain. Pourquoi pas...
Marque de fabrique.
Mais la qualité des deux albums, est que celle-ci ne prend jamais le dessus.

Le cours ordinaire des choses, marque une nouvelle étape pour JLM (après une première escapade aux USA, l'album Mustango avec la complicité de Calexico) il est parti enregistrer à Nashville et réussit à méler poésie française et musique séminale, ou s'imbriquent blanche électricité et ballades.
Le Solitaire privilégie les rencontres, moteur de toute sa carrière.
Album parfait (à l'exception de Comme un cowboy à l'âme fresh, pour le coup nashvilien...) il affectionne les décalages (pour Miossec ont parlerait cyclistement ou footballistiquement de décrochages...) en particulier l'érotique La tige d'or, le Shelbyen Falling in Love Again ou encore M Maudit et l'imposant Chanter est ma façon d'errer.
Le début (premier morceau):
Comme un incendie:
(...) Je t'informe de ma présence/C'est un besoin d'infini/J'invoque ta substance/Dans ce purin d'idéaux/Où tout fabrique des sots/Par la chose immuable/Je n'ai plus confiance/En vous/Le cours ordinaire des choses me va/comme/un incendie.(...)
On le compare très souvent à Léonard Coen, il est surtout une sorte de Neil Young (y compris par son rythme de production).

Il est question aussi de collaboration/complicité artistique pour Miossec sur Finistériens (magnifique photo intérieur, un panoramique pris au Quartz de Brest) puisque l'album a été intégralement produit par Yann Tiersen. C'est une première pour le chanteur et j'espère une dernière. (C'est pour ces raisons que ELLE et autres parlent d'album de la maturité ? Fuck Off !)
Jamais la poésie de Miossec n'a été aussi subtile et touchante. Rien de mature la dedans. Mais à quelques exceptions (A Montparnasse, Nos plus belles années, CDD) la production semble en dessous, s'éfface, alors qu'elle devrait faire chavirer ces textes immenses...
Vive l'immaturité !
Et il y a ce magnifique, au début (premier morceau):
Seul ce que j'ai perdu (m'appartient à jamais):
(...)Est-ce que l'on devient un peu trop fou/Quand on ne s'accroche/Plus trop à rien/Est-ce que ça vous fait un bien fou/De faire du vélo sans les mains/Est-ce qu'il faut se sentir à bout/Pour se sentir enfin si bien (...).

M & M balancent tous les deux leur spleen sur nos têtes.
Ca fait du bien.
Ca accompagne...

Le cours ordinaire des choses.
Comme un incendie / Falling in love again / M Maudit / Chanter est ma façon d'errer / Lady of Orcival / 16h qu'est-ce que tu fais? / Ginette Ramade / La mésange bleue / Comme un cowboy à l'âme fresh / La tige d'or / Taïga.
Universal 2009. (49'29)

Finistériens.
Seul ce que j'ai perdu (m'appartient à jamais) / Les joggers du dimanche / Les chiens de paille / A Montparnasse / CDD / Nos plus belles années / Jésus au PMU / Haïs-moi / Fermer la maison / Loin de la foule / Une fortune de mer.
PIAS Recording 2009. (40'36)

Cette chronique s'achève dans la bière et avec les Dogs qui hurlent sur la platine Do You Love Me ?
Putain oui !
Et Toi bordel ?

Dédicace spéciale à JNJ LP (quelques jours) et DS (un peu plus d'un an), qui nous garderons bien de tout ça...

Monday, October 12, 2009

En attendant...






A l'essentiel...
C'est en russe...
Et sur le site www.modscene.ru

Stayin' Alive !

Sunday, October 4, 2009

Sans aucune raison...




Norma Jeane Mortenson /Baker (Marilyn Monroe) Photo Bert Stern 1962