A voir !

A rugir !

"Les bières aujourd'hui s'ouvrent manuellement"
21/09/11
Miossec
Nouveau Casino

(les compressions vidéos aujourd'hui c'est vraiment nase !!!)

A lire !

21/09/11
Blood, sweat and tears...

Un peu moins d'une semaine que le brestois s'est planté par ici. Choix judicieux que ce Nouveau Casino où à quelques mètres on pu discerner son regard clair. Le dernier album passe bien l'épreuve de la scène, à tel point que son intégralité est proposée. Il en est plus Rock. "Chanson sympathique" semble presque invoquer le Velvet. Mais Miossec n'est pas l'ami Lou. Si la démarche est toujours hésitante, il prend de l'ampleur et fait cracher sa voix. Du ventre et des tripes. Expédiée en quasi début de set, "Chanson pour les amis" confirme son statut de "tube". Quelques titres de tous (ou presque) ses disques précédents, une pause clope, un rappel et c'est plié. "Les bières aujourd'hui..." viennent clôturer un concert sec, sans temps mort et bavardage. Hormis, amusant, un dialogue "private joke" avec un spectateur où longueur de barbe, cocktail Colonel, et autres furent évoqués...
Quel chemin parcouru depuis ces premières paroles claquées sur des guitares sèches ? Depuis Boire en 1995.
Peut-être un retour à une structure musicale plus proche de Miossec, le groupe, comme il aimait à le rappeler aux débuts, faisant disparaitre le prénom. Ou peut-être de Printemps Noir, le groupe d'avant.
Un dernier opus court, on s'en aperçoit encore plus en vinyle, un son rèche sur scène, un line-up à la trentaine avancée, looké late sixties pour le guitariste et le bassiste, l'orgue supplantant le piano, la batterie précise, creusant toujours plus un sillon Rock que, paradoxe, l'avant dernier album effaçait sous un effet "chanson".

"Tout recommence/Mais rien ne se répare/Quand les cœurs sont en faïence/C'est foutu, c'est trop tard"

Stayin' Alive !

Miossec. Chansons ordinaires PIAS Recording 2011

Flâneurs

Jean-François Vilar

Aux flâneurs de ce blog,
Aux aventuriers des passages parisiens,
Aux amateurs de littérature "délinquante",
Aux fondus de photos,
Aux enragés,
Aux tangos surréalistes,
Aux polars et aux sombres,
Aux imprimeurs de l'ombre,
Rendez-vous Passage Jean-François Vilar

http://passagejfv.eklablog.com/

Stayin' Alive !

Ingratitude

Le retour de DSK et ce qu'il y a autour,
M'irrite au plus au point.
Ce type revient en France,
En "héros"
Libéré, semble-t-il d'une sombre
Et injuste détention. Ou de je ne
Sais quelle erreur judiciaire.
Il conviendrait que le PS, s'attache à faire
Un peu le ménage dans sa morale
A l'approche de ses primaires.
Il n'est jamais trop tard.
A moins que, et pour des raisons évidemment
Différentes:
le Medef,
L'Armée Française,
L'UMP,
Son chef,
Les banques,
(entres autres)
N'aient à l'unisson,
Un immense "Merci"
A adresser à l'ex-boss,
Sexuellement
Et dangereusement hyper actif,
du FMI,
Pour le formidable ÉCRAN
Qu'il fit, de son corps, depuis
Le mois de Mai, face aux différentes
"turpitudes" des ci-dessus
Nommés, l'unique sujet des
Unes éditoriales, sans doute une
Jurisprudence pour des affaires similaires
A venir et surtout, la
Complaisante diversion politique.

Un héros je vous dis!

Agressé(e)s de tous les pays etc...

(au fait: la famine en Afrique, ça en est ou?)

Bonjour chez vous !

Bonus

Bonus:
Machu Picchu toujours au Reading Festival.
C'est filmé par la BBC.
J'invite 98,9 % des réalisateurs français à piquer quelques idées de filmage.
C'est claire, juste, spectateurs, on a le vague sentiment d'être sur scène avec les Strokes.
Ce n'est pas filmé à la truelle parkinsonienne. Ce n'est surtout pas une affaire de moyens. Les cadreurs n'essaient pas d'être plus brillants que les musiciens qu'ils filment.
Du désir sans doute.
Seulement du désir.

Bonjour chez vous !

Karaté Kid

Les Strokes au Reading Festival.
Reprise de The Cars (*)
"Just What I needed"
Paru sur le premier album
Du groupe en 1978.
Cover avec
La classe en personne:
Mister
Jarvis
Cocker !

Ultime!

(*) En 1981 Ric Okasek, leader de The Cars, dissout le groupe. Il le reforme 30 après et sortent en 2011 un album, Move Like This, salué avec enthousiasme par la critique.

Mélancholia, mon amie.

Mélancholia de Lars von Trier

Max et les ferrailleurs de Claude Sautet

Vu l'un après l'autre.

Soit Max après Mélancholia.
A quelques heures.
Et l'un ne nous guérit pas de l'autre.
Qui, du reste, voudrait guérir d'un des plus beaux films jamais vu ? Mélancholia.
Après une des séquences d'ouverture les plus virtuoses, et qui en quelques "tableaux", tient tout le film, on pu craindre le pire : une sorte de Festen avec des moyens. Et puis non, très vite, quelque chose se joue. D'immense et d'intime. Et ça enfle pour devenir plus grand que la Terre et tout ce qu'il y a dessus. Comme si du banal et commun (un mariage), de l'avenir et du bonheur, quelque chose venait s'interposer, nous dire que de toute façon ce n'est qu'Image et Artifice. Un jeu social. De dupes. Que seule La Mélancolie, nous rend lucide.
En inversant les rôles, en moins trivial, (quoique), on revoit Vertigo. Sa part démonstrative. On déroule le Double.
Une forme de Dialectique de la Lucidité.
Et Tristan et Ysolde de Wagner nous renvoi à Bernard Herman et Alfred H, ou bien le contraire. Alors on a presque envie de crier. Dans la salle et de dire Stop ! tant toute cette émotion est insupportable.
Et personne ne pourra nous guérir.
Surtout pas le regard de Romy S.
Ultime.
Quelques heures après.
Après la fin du Monde.

Stayin' Alive (et lucide !)

Post écrit en écoutant Lulu dont la chanson Let's Pretend (1967) commence par ces mots "I Only Live Because You Love Me"

Here Come The Double Deckers

Here Come The Double Deckers. (L'autobus à Imperial).

A propos de Londres.
Je me rappelle cela.
Cette série diffusée en 1972. C'était plutôt fun et pop pour l'époque. Petit faible pour Billie (devenue Belle dans la version française). Tigrette, (Tiger en anglais) à du faire des ravages.
Ça a de l'allure quand on a une dizaine d'années.
On trouve des épisodes sur Dailymotion.
Mais bon...

See You Next Week !

London is (not) burning !

23/24. 09. 2011