Friday, August 30, 2013

Thursday, August 29, 2013

Ca manque !



Salut c'est Le Black !
Y a comme un vide.
Non ?
Le bonhomme
Est toujours
Aussi
Touchant.
Et cette
Voix.
15
Minutes
De classe.
Absolue !

Radio
Live
Transmission
Dance
Dance
Dance
To the Radio

(...)

Stayin' Alive !   and We Could Dance

Tuesday, August 27, 2013

Rentrée (C'est la) #2






Le titre programmatique du second album de Miles Kane devra sans doute l'accompagner au-delà de cette nouvelle réalisation. La présence du Modfather Paul Weller ne le protégera pas toujours de tentations "stadesque" (sic). En attendant, à 2 ou 3 exceptions, Don't Forget Who You Are regorge d' hymnes pop sixties dont la force consiste à avoir été écrit aujourd’hui, loin d'un pseudo revival.
Le point commun avec Ronnie Bird ? La coupe de cheveu sans doute. Mais le look aussi. Et les racines Sixties anglaises donc. Chanté en français (RB est un des rares à faire sonner les reprises des Mods) cette album de reprises couvre la carrière courte et sous-estimée de Ronnie Bird.
4 ans après la parution des reprises de Ronnie B, soit en 69, sortait le film Le mariage collectif de Sven Olsen et Sven Holm. Vague film érotico-porno franchouillo-danois, assez ennuyeux parait-il. L'unique intérêt est la bande son gravée en 71, dont l’acétate fut balancé aux ordures pour cause de mévente et retrouvé en 2010 dans une décharge, la BOF refait surface et c'est une vraie surprise Pop. On la doit à Jean-Pierre Mirouze qui officia au sein du Groupe de Recherche Musicale de l'ORTF (ça ne s'invente pas) collabora avec  Jean Rouch, accompagna musicalement des films sur l'Algérie en 62 (heureusement censurés par le pouvoir gaulliste, non mais alors !), travailla avec Jean Christophe Averty sur Dim Dam Dom, etc... Mirouze inaugure brillament la mode du mélange (pas toujorus réussi) entre érotisme et Pop. L'écoute du morceau Sexopolis annonce la fin des années 90 et l'électro-pop (Archive ?) qui suivi.
Au rayon de surprises : Nippon Girls. Soit 25 titres de Pop venant du pays du soleil levant. Kill Bill peut aller se rhabiller. Voilà qu'arrive une tuerie de guitares acides, d'orgues groovy et de voix féminines faussement innocentes. Le tout plus affuté qu'un Katana !
Couvrant la période 66/70 c'est un véritable Swinging Tokyo qui existait !
Le plein j'vous dit !

Bonjour chez vous !

Rentrée (C'est la) #1



C'est la rentrée !
Alors pour l'accompagner, une petite virée chez un disquaire pour faire le plein.
Lu il y a quelques jours un article concernant la parution  d'un coffret de 5 disques de Scott Walker. Je connaissais SW grâce au véritable culte que lui vouait David Bowie. Le coffret est une tuerie ! Voix et Orchestrations. Incroyable. Moins "light" que Burt Baccarach, plus "délicat" que Phil Spector, Scott Walker (séparé de son frère) aligne une série de merveilles assez sidérantes et de compositions ambitieuses. De (trop) nombreuses reprises de Brel, assez inégales alourdissent l'ensemble. (le 4ème Cd est composé uniquement de compositions originales). Bowie avec son premier album "David Bowie" paiera un lourd tribut à Scott Walker, y compris dans sa façon de chanter. Tout vient de là. Il ira jusqu'à reprendre "Amsterdam".
Et moi qui pensait que c'était en hommage à Brel ! Et non ! C'est à Walker. 45tr acheté le 26.01.74 que j'usais jusqu'à l'achat un mois après le 28.02.74 du Lp "Pin Ups". Et bien après encore !
L'automne peut se pointer !
Sa musique est déjà là !

Stayin' Alive ! (*)

(*) A propos de cette injonction:
Voilà que Phil Man évoquant les disparus du mois de juillet dans sont édition de R&F et notamment le suicide de Jack-Alain Léger (aka Dashiel Hedayat) me pique celle-là !
C'est pas joli joli !
Sans rancune !