Monday, December 30, 2013

Dieudonné n'a jamais existé !


Il est temps que cela s'arrête !
Encore quelques heures
A sentir l'ordure.
Illusoire.
Cela va poursuivre. Malheureusement.
L'œuf
Du
Serpent !

La route du fascisme est pavée de bon mots.
C'est connu (Ah Goebbels !) et donc de bons humoristes (Ah Dieudonné !)
Enfin d'humoristes...
Celui qui refusant à juste titre d'être le "bon nègre" s'en croit obligé
D'être néo-fasciste !!!
Pauvre type !
Qui se croit anti-système (*). Mais tu l'es. Comme les Ligues de 34 !
Vous vous rappelez les ligues d'extrêmes-droites ?
Et les torches-culs antisémites ? (d'avant Israël)
A écouter ta prose, d'ailleurs félicitations tu as reformé un duo,
C'est cool !
C'est ton coté humain,
Grand frère !
Non, vraiment chapeau bas l'artiste !
Donc des duos:
Tantôt Alain Soral (autre facho mondain)
Tantôt Robert Faurrisson (grand comédien, il interprète dans tes films-bouses un avocat Juif avec brio. Et surtout magicien, si si, il fait disparaitre les chambres à gaz. Quel talent !)
Tantôt Kemi Seba (Le grand capitalisme noir pour le boycott du capitalisme blanc!!! Génial),
Je me dis que vous n'avez malheureusement rien inventé.
Pratiqueriez-vous l'humour de répétition ? En tout cas, y a copiage !
Ta blague sur Christine Taubira tu l'as volée dans la rue. Je l'ai entendu avant toi. C'est même des familles et des enfants qui la racontent.
Non, tu ne fais que vérifier l'adage, aussi vieux qu'une Seconde Guerre Mondiale, selon lequel, les ennemis de mes ennemis sont mes amis !!
Mais il y a des choses qui ne se discutent pas.
Car ce ne sont pas des idées.
Ni une blague belge: Alors voilà, y a un facho mondain, un acteur révisionniste et un humoriste néo-fasciste, qui sont dans un avion...Ah ! ah ! ah !...Encore moins une blague juive.

Bon, que pour atteindre l'extase vous pratiquiez le sexe sodomite entre vous ne me dérange pas (une de nos différence est que je ne suis pas homophobe) tout en récitant du Heydrich et brulant les livres de  Frantz Fanon (que tu ne sembles pas connaitre) non plus.
Tant que tu ne prosélytismes pas a mon endroit.
Car c'est ça qui est dingue avec vous, les peines-à jouir ou éjaculateurs précoces (pour paraphraser Desproges je n'ai pas dit "dubitatifs" en rapport avec votre avis sur la Shoah!)
Vous ne pouvez-pas orgasmer sans vous empêcher de vomir dans le poste et sur mes Clarks !
Vomir votre haine de
Négationnistes/révisionnistes
Racialistes/antisémites (et non antisionistes!)
Homophobes et misogynes (ça va avec!).
Et de Droite.
Le plus dingue est la complaisance de Youtube par exemple.
On trouve toutes vos vidéos et le Faurrisson illustré.
C'est proprement abjecte. Et ça ne gêne personne !
Remarque, le plus abjecte est l'absence de modérateur ! Tout passe.
Depuis l'invention des Forums, les gens se sentent d'avoir un avis sur tout. C'est fou là aussi,
Comme ces avis puent la merde !!!
C'est comme ceux qui se répandent sur Orange. !!!
Malgré la constante affirmation de votre virilité dans vos discours et gestes (vous avez sans doute un petit kiki),vous n'avez pas celle de reconnaitre ce que vous êtes profondément. Vous feignez sans cesse.
C'est petit. C'est pas choli choli !
Même ta blague sur Patrick Coen est approximative.
Tu dois t'affirmer comme un gros c... de nèo-nazi !!! Cesse de te rabaisser !!!
D'ailleurs aux procès tu esquiveras. Comme tu as tenté d'esquiver sur la chanson "Chaud ananas".
On ne fait rimer "Je te tiens par la Shoah" impunément.
En d'autres temps tu aurais pu prétendre à l'innocence du garnement faisant un bon mot.
Mais ce n'est pas possible.
Ce "bon temps là" à disparu avec Papon !
Sous un air provocateur et dénonciateur (de quoi au fait ?)
Tu jongles trop habilement avec la Misanthropie et  le Fascisme.
Pour paraphraser un chroniqueur que tu hais sans doute,
Allez je t'embrasse pas,  faut que je tire la chasse.

No Pasaran !

(*) Même Anelka ! Ca c'est une blague drôle. Anelka anti-système ! Ah! Ah ! Ah! je tombe.

Sunday, December 15, 2013

Du Cinéma


Voilà la fin d'année et le rituel des classements.
Soyons brefs et précis.
Soit :

1) La Jalousie de Philippe Garrel
ensuite de façon aléatoire :
-La vie d'Adèle d'Abdellatif Kechiche
-Gravity d'Alfonso Cuaron
-L'inconnu du lac de Alain Guiraudie
-A touch of sin de Jia Zhang-Ke
-Histoire de ma mort de Albert Serra
-Suzanne de Katell Quillévéré
-Tip Top de Serge Bozon
-The Immigrant de James Gray
-Django Unchained de Quentin Tarantino

Bonjour chez vous !

Sunday, December 1, 2013

Une bonne raison

Encore une
Bonne raison
D'économiser un peu
D'argent et de temps.
Avril '14 ne sera
Pas uniquement le 40ème
Anniversaire de
La Révolution des Œillets
Portugais.
Mais aussi l'occasion
De vérifier
La survivance de styles
Musicaux, de fringues, de Design,
D'esthétique,
D'un certain
Way of Life, 50 ans après
Les premiers pas de
La culture
Moderniste !

Tuesday, October 22, 2013

Happy Birthday Tindersticks !



Il ne fallait arriver en retard.
Une fois de plus.
Olympia de Paris.
21/10/13
A peine 20h15 et la première partie arrive.
Les Tindersticks eux-mêmes.
Stuart Stapples l'annonce : 2 sets.
Le premier démarre. Une 1/2 heure de ballades
En demie pénombre,
En équilibre. Emotion
Tendue.
Suivent une pause de 20 minutes et une pinte à 8 euros (voleurs !)
Comme pour la première partie, ils ont l'air
Ravis d'être là. Souriants.
Effet 20ème anniversaire ? Sans doute. Pas de nouvelles chansons
A défendre.
Alors un survol de 20 ans est attendu.
Et ils vont dérouler, à l'exception de 2 ou 3 pauses,
(Dont l'ultime en ce qui me concerne et rarement joué Another Night In (*)),
Une série de mélodies
Aussi imparables
Que dansantes.
Jusqu'à un Can We Start Again, a gorge déployée,
Où l'on vit Stapples scandant la mesure en frappant dans ses mains tout au long,
Repris par tout l'Olympia.
My Sister en
Conclusion
Soit 1h30 a se déhancher sur une Soul Music si
Particulière qu'ils semblent être les
Seuls a maitriser.
Et puis l'élégance.
Et puis le sourire.
Et puis la joie d'être là.
Et puis la grâce.
...
Et oui chroniqueuse matinale de France Inter,
Dont j'ai oublié le nom, comme vous l'avez si intelligemment
Chroniqué ce matin du 21/10, pensant leur rendre
Hommage, les Tindersticks jouent une "musique triste pour
Un public qui aime
Les chansons tristes"
J'espère que vous avez fait le déplacement
Pour "vérifier" l'usage de poncifs ?

Stayin' Alive !

(*) vidéo à venir !

Monday, October 14, 2013

21 - 7


Tout
A été écrit.
Sur ce disque.
Et tout est vrai.
La beauté !

Stayin'  Alive !

Friday, August 30, 2013

Thursday, August 29, 2013

Ca manque !



Salut c'est Le Black !
Y a comme un vide.
Non ?
Le bonhomme
Est toujours
Aussi
Touchant.
Et cette
Voix.
15
Minutes
De classe.
Absolue !

Radio
Live
Transmission
Dance
Dance
Dance
To the Radio

(...)

Stayin' Alive !   and We Could Dance

Tuesday, August 27, 2013

Rentrée (C'est la) #2






Le titre programmatique du second album de Miles Kane devra sans doute l'accompagner au-delà de cette nouvelle réalisation. La présence du Modfather Paul Weller ne le protégera pas toujours de tentations "stadesque" (sic). En attendant, à 2 ou 3 exceptions, Don't Forget Who You Are regorge d' hymnes pop sixties dont la force consiste à avoir été écrit aujourd’hui, loin d'un pseudo revival.
Le point commun avec Ronnie Bird ? La coupe de cheveu sans doute. Mais le look aussi. Et les racines Sixties anglaises donc. Chanté en français (RB est un des rares à faire sonner les reprises des Mods) cette album de reprises couvre la carrière courte et sous-estimée de Ronnie Bird.
4 ans après la parution des reprises de Ronnie B, soit en 69, sortait le film Le mariage collectif de Sven Olsen et Sven Holm. Vague film érotico-porno franchouillo-danois, assez ennuyeux parait-il. L'unique intérêt est la bande son gravée en 71, dont l’acétate fut balancé aux ordures pour cause de mévente et retrouvé en 2010 dans une décharge, la BOF refait surface et c'est une vraie surprise Pop. On la doit à Jean-Pierre Mirouze qui officia au sein du Groupe de Recherche Musicale de l'ORTF (ça ne s'invente pas) collabora avec  Jean Rouch, accompagna musicalement des films sur l'Algérie en 62 (heureusement censurés par le pouvoir gaulliste, non mais alors !), travailla avec Jean Christophe Averty sur Dim Dam Dom, etc... Mirouze inaugure brillament la mode du mélange (pas toujorus réussi) entre érotisme et Pop. L'écoute du morceau Sexopolis annonce la fin des années 90 et l'électro-pop (Archive ?) qui suivi.
Au rayon de surprises : Nippon Girls. Soit 25 titres de Pop venant du pays du soleil levant. Kill Bill peut aller se rhabiller. Voilà qu'arrive une tuerie de guitares acides, d'orgues groovy et de voix féminines faussement innocentes. Le tout plus affuté qu'un Katana !
Couvrant la période 66/70 c'est un véritable Swinging Tokyo qui existait !
Le plein j'vous dit !

Bonjour chez vous !

Rentrée (C'est la) #1



C'est la rentrée !
Alors pour l'accompagner, une petite virée chez un disquaire pour faire le plein.
Lu il y a quelques jours un article concernant la parution  d'un coffret de 5 disques de Scott Walker. Je connaissais SW grâce au véritable culte que lui vouait David Bowie. Le coffret est une tuerie ! Voix et Orchestrations. Incroyable. Moins "light" que Burt Baccarach, plus "délicat" que Phil Spector, Scott Walker (séparé de son frère) aligne une série de merveilles assez sidérantes et de compositions ambitieuses. De (trop) nombreuses reprises de Brel, assez inégales alourdissent l'ensemble. (le 4ème Cd est composé uniquement de compositions originales). Bowie avec son premier album "David Bowie" paiera un lourd tribut à Scott Walker, y compris dans sa façon de chanter. Tout vient de là. Il ira jusqu'à reprendre "Amsterdam".
Et moi qui pensait que c'était en hommage à Brel ! Et non ! C'est à Walker. 45tr acheté le 26.01.74 que j'usais jusqu'à l'achat un mois après le 28.02.74 du Lp "Pin Ups". Et bien après encore !
L'automne peut se pointer !
Sa musique est déjà là !

Stayin' Alive ! (*)

(*) A propos de cette injonction:
Voilà que Phil Man évoquant les disparus du mois de juillet dans sont édition de R&F et notamment le suicide de Jack-Alain Léger (aka Dashiel Hedayat) me pique celle-là !
C'est pas joli joli !
Sans rancune !




Thursday, July 11, 2013

Et si Jerry Lewis était italien ?






De retour sur ce blog.
C'est l'été.
L'Italie.
Le Rock.
Moins sérieux cette parodie
D'Adriano C.
Dont le tubesque
Prisencolinensinainciusol
A bercé mon année
1973.
Imparrable.
Comme
La version
Italo-anglaise
De
I
Want
To
Know.
Un programme.

Stayin' Alive

Youtube
C'est
Vraiment
De la Merde !

Sunday, May 12, 2013

Never Mind



36 ans après sa parution, l'unique album
Studio des Sex Pistols n'a rien perdu de sa
Puissance dévastatrice.
Et musicale.
Sans doute pas assez soulignée
A l'époque.
Si l'histoire relativise le nihilisme du groupe, elle n'enlève
Rien à ce qui restera comme le mythe
Fondateur d'une révolution
Culturelle.

Stayin' Alive !

Friday, May 10, 2013

Monday, March 18, 2013

Bis Repetita



Et parce que je ne me
Lasse pas de cette somptueuse
Pochette. Encore plus somptueuse
En réalité (Reality ?). Sans doute l'une des plus
Conceptuelle que DB n'ai eu.
Enfin tout ça pour dire que loin
D'élire disque de l'année ce come
Back , je viens d'en faire la musique
Officielle du 34.St refreshing time.
Alors déjà que
Ce Blog ne s'alimentait que trop
Rarement, il en est réduit a
S'auto-alimenter en quelque
Sorte !
Stayin' Alive !

Wednesday, March 6, 2013

(de)Loyal !





Jérôme Savary (1942 - 2013)

J'ai découvert Jérôme Savary
Et le Grand Magic Circus en 1975.
Une histoire de poésie et
De subversion.
Rire provocateur et de résistance.
Comme on dit d'un
Plat. Qui nourrit.
Moi qui ne voyait du Théatre
Que la version boulevardière
A la télévision.
D'un seul coup, la Contre-
Culture Pop invitait
L'agitation de la rue dans la petite
Lucarne.
Il m'agaçait aussi !
Parfois. Souvent.
Semblant renoncer à
L'esprit frondeur des
Débuts.
En même temps
Je gardais plus que de
La sympathie. Comprenant
Ensuite son projet. Culturel.
Alors ce soir
Ses Animaux Tristes.
Le
Sont.
Vraiment.
Stayin' Alive !

Tuesday, March 5, 2013

Et le jour suivant...


C'est la pause à Old Trafford.
Man-U est toujours qualifié face au real. Tant mieux.
C'est aussi le 1000ème match de Ryan Giggs. 39 1/2 ans.
En parlant d'age, le bonhomme dissimulé en à 66. Et sort, après quasi 10 ans d'absence un disque, qui s'il n'est pas un chef d’œuvre (impossible?) reste plutôt un bon album. Son 30ème album studio, produit de nouveau par l'ami de toujours Toni Visconti, déjà à l'oeuvre à la grande époque RCA.
TND n'est pas l'album de " la résurrection" ni l'ultime testament, mais un opus qui continue de créer de douces ruptures et de subtils ponts. Ce que David Bowie à toujours fait. Et The Next Day comporte son lots de chansons qui se détachent par leur mélodies ou les arrangements (Valentine's Day, Boss of Me, Dirty Boys, Love is Lost, Where are we now ? l'expérimental Heat. Entre autre)  Si les connections évidentes sont à chercher du coté de la trilogie berlinoise (la pochette déjà !), c'est dans toute son œuvre que Bowie a puisé. C'est sans doute les limites de l'album aussi. Le Next Day dont il est fait référence, semble annoncer quelque chose qui n'est pas dans le disque. Même plus dans la musique. Mais dans le virtuel. Bowie est un autre. Si l’œuvre n'a jamais été biographique, elle constitue la matière première de ce dernier disque. En témoigne l'étrange sentiment lors de l'écoute de l'album (en écoute libre et limitée sur iTunes Store). Comme si les 10 ans écoulés n'avait pas existé. On reprend le cours des choses arrêté avec le bien nommé Reality. Et puis Bowie a toujours joué avec l'Image, la sienne. Créant à chaque fois une nouvelle référence/personalité. Sa présence, sous forme d'absence sur la pochette est une nouvelle piste. Une proposition à compléter. C'est toute la force de Bowie. Ou bien est-ce cela : The Next Day ?
A Old Trafford, Man-U mène 1 à 0, mais joue à 10 ! Ça va être difficile !

The Next Day: The Next Day, Dirty Boys, The Stars (Are Out Tonight), Love Is Lost, Where Are We Now?, Valentine's Day, If You Can See Me, I'd Rather Be High, Boss Of Me, Dancing Out In Space, How Does The Grass Grow, (You Will) Set The World On Fire, You Feel So Lonely You Could Die, Heat. Deluxe Version bonus tracks: So She, I'll Take You There, Plan. (53mn hors bonus)

Stayin' Alive !

(En fait le match est terminé. United est battu. Une deuxième écoute s'impose !)

Thursday, February 28, 2013

R.I.P Daniel D.


Daniel Darc  (1959 - 2013)

(...) Quand je mourrai
J'irai au paradis,
C'est en enfer
Que j'ai passé ma vie. (*)

Je me souviens.
Je me rappelle,
Un samedi après-midi,
Au Silence de la Rue,
Disquaire. Paris 11ème.
La silhouette et la voix si
particulière de D.D,
Flânant parmi tous les vinyls.
Et puis son rire.
Et puis ses commentaires sur la
Pile de CD sous son bras.
Tatoué.
A la caisse.
Rock et Country.
Et peu de temps après.
Bashung déjà.

(...) La vie est mortelle mon amour
Pas un encore, pas de retours
Bientôt viendra la fin des jours (**)


Stayin' Alive  !

(*) J'irai au paradis (Amours Suprème 2008 Mercury)
(**) La vie est mortelle (Amours Suprème 2008 Mercury)

Wednesday, February 20, 2013

18 février 2013. 19h30


Lundi 18 février 2013.
Ligne D du Rer. Un entrefilet dans Libération annonce le concert. Juste une heure pour rejoindre le Café de la Danse. Du monde et c'est tant mieux. C'est qu'elle se fait rare. Plaisir de retrouver ce lieu. Je n'y avait plus mis les pieds depuis un concert solo de la contrebassiste Joëlle Léandre où je pouvais apprécier le concert en bonne compagnie, Delphine Seyrig étant ma voisine de gauche. Ah non j'oubliais, (en 2000 ?) , un concert de Françoiz Breut déjà. Les débuts !
20h45 Françoiz Breut monte sur scène à l'heure après le set de Don Nino, par ailleurs producteur du dernier disque de la chanteuse expatriée en Belgique. Aucun lien avec les derniers exilés fiscaux. La deuxième moitié sauve un début de show assez paresseux. En fait la formule trio est plus engageante musicalement. Et donc Françoiz Breut arrive. Enfin le groupe d'abord. Et puis dans une allure sixties à fond, robe marron courte, sans manche, collants clairs à pois, bottes, c'est BXL Bleuette, qui introduit le dernier album "La chirurgie des sentiments" et le concert. Si la part belle est faite aux derniers enregistrements, elle chantera ce soir de larges extraits de tous ses disques. Un premier constat : Les premières chansons vieillissent vraiment bien, du coup, c'est un concert à la fois extrêmement homogène et où chaque chanson est inattendue. Des surprises il y en aura. Comme les deux titres interprétés, l'un débuté a capella dans les gradins (et juste à coté de moi !!! Yeah ! du coup, pas de photo, trop gêné), l'autre, La vie devant soi, dans la fosse accompagné  du guitariste. Elle occupe la scène, toujours en mouvement, en sourires. Des oublis de paroles? Touchés par la grâce ! Et tout s'enchaine : Le nordles jeunes pousses, ciudad del mare, km 83, Vingt à trente mille jours, si tu disais, viennent entres autres compléter le dernier disque. Et un Ultimo à l'orgue groovy. 1h45 de concert. 3 rappels.

Stayin' Alive !

Françoiz Breut : La chirurgie des sentiments (2012).

Françoiz Breut #2

Françoiz Breut

Sunday, January 27, 2013