Wednesday, March 21, 2012

L'Autre Impossible


Voilà !
L'ami Michel Butel est
De retour. Et c'est bien.
Je lui suis d'une certaine
Façon à jamais redevable.
Depuis la fin de L'Autre Journal.
C'est en kiosque depuis le 14/03.
Chez moi depuis quelques heures
Et dans les librairies demain.
Alors pour ceux dont le papier,
Les nouvelles du monde, la poésie,
Le graphisme, les connexions
Intellectuelles et artistiques, sont
Les raisons de mettre un pied hors
Du lit le matin, ce journal est pour vous.
A L'impossible tous sont tenus !!!

Voici du reste le 1er article du manifeste rédigé par MB:

1 – Parce que des journaux m’ont donné, dès mon plus jeune âge, des informations sur l’état du monde. Du monde entier. Sur l’état de la société dans laquelle je vivais. Parce que certains de ces journaux ont façonné mon esprit – mon esprit critique, parce que certains journalistes dans ces journaux – ou parfois certains écrivains, certains penseurs, certains artistes, certains intellectuels, certains chercheurs, certains photographes, certains dessinateurs, certains inconnus dans ces journaux, ont bouleversé fugacement ou durablement mon état d’esprit. À l’égal des œuvres d’art ou de pensée. À l’égal de certains livres, de certains films, de certains manuels ou traités, à l’égal de certaines pièces de théâtre, à l’égal de certains films, à l’égal, parfois, de l’art entre tous énigmatique – la musique. Et aussi à l’égal de certaines rencontres, de certains voyages, à l’égal de certains amis, à l’égal de certains enfants, à l’égal de certains sages, à l’égal de certaines amours.

www.limpossible

Stayin' Alive !

L'impossible n°01 Mars 2012 128 pages 5,00 euros

2 comments:

  1. Merci à vous The Face pour votre conseil. Je n'ai jamais eu un tel journal dans les mains et sous les yeux.

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  2. Il faut que cela dure...
    Retrouver dans le n°2 (janvier 1985) de l'Autre Journal, l'édito, en fait l'interview de JLG où Butel commence et écrit (ce qui du reste pourrait l'être aujourd'hui): Lutter contre la paresse qui nous fait toujours remettre à demain de penser.
    (...)

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